

« Je suis un vrai cafard misanthrope. »1
→ Marisa Merz naît en 1926 à Turin. Elle apprend la danse et s’intéresse à l’architecture et à l’art antique.
→ En 1960, elle se marie avec Mario Merz, plasticien de l’arte povera et donne naissance à leur fille Beatrice.
→ En 1966 elle expose pour la première fois une œuvre chez elle, dans son espace domestique. Au même moment, elle commence à présenter ses œuvres à l’extérieur dans la galerie Gian Enzo Sperone à Turin en 1967.
→ Elle participe pour la première fois à une manifestation de l’Arte povera, Arte povera + azioni povere (« Art pauvre + actions pauvres »), à Amalfi en 1968.
→ Elle est présente à la 36° Biennale de Venise de 1972.
→ A la fin des années soixante-dix, elle écrit de nombreux poèmes intégrés ensuite dans ses installations.
Marisa Merz avec les Living Sculptures [Sculptures vivantes], Turin, 1967, Photo Renato Rinaldi

« Non, il n’y a jamais eu de séparation entre mon travail et ma vie. »1
→ Ses œuvres sont présentées dans l’exposition parisienne Identité italienne. L’Art en Italie depuis 1959, au centre Georges Pompidou, à Paris, en 1981. Marisa Merz acquiert donc une place importante dans l’art italien de la seconde moitié du 20°siècle.
→ A partir de 1982 et pendant une dizaine d’années, elle refuse presque toutes les propositions d’expositions personnelles. Elle ne désire montrer son travail qu’avec d’autres artistes ou en participant à une démarche collective.
→ En 1986 elle participe à l’exposition Chambres d’amis à Gand, une manifestation atypique, puisqu’elle se tient dans des résidences privées de la ville.
→ Catherine Grenier organise pour la première fois une exposition personnelle et rétrospective de ses œuvres au centre Georges Pompidou en 1994. Cette exposition est suivie d’une autre rétrospective au Stedeljik Museum à Amsterdam en 1996 et à Bologne en 1998.
→ En 2013 elle reçoit le Lion d’or, récompense suprême de la Biennale de Venise.
→ Elle meurt le 19 juillet 2019 à Turin.
Marisa Merz à Florence, 1996, Courtesy Archivio Merz. Photo : Gianfranco Gorgoni
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